Divorce à l'amiable à Avignon : Maître Valérie Cama vous accompagne

Envisagez-vous un divorce à l’amiable à Avignon ? Maître Valérie Cama, avocate expérimentée dans les procédures de divorce à Avignon depuis 27 ans, vous accompagne dans cette étape délicate. 

Bénéficiez de ses conseils personnalisés et d’une assistance juridique de qualité pour régler vos questions liées à la garde des enfants, au partage des biens et à la pension alimentaire.

TEMOIGNAGES

Des clients satisfait.

Me CAMA est une excellente avocate, disponible, à l’écoute et déterminée.  Compétente, je la recommande vivement.

Estelle Morineaud

J’ai eu l’occasion d’avoir maitre CAMA pour mon divorce, elle a été très professionnelle et très humaine . Je vous la recommande.

Nicolas Chevrier

Je recommande vivement maître Cama, qui sait parfaitement guider son client et prendre les choses en mains quand il le faut…

Louis Mignot

Biographie Maître Valérie CAMA

Présentation de Maître Valérie CAMA

Maître Valérie Cama, avocate au Barreau d’Avignon depuis plus de 27 ans, est spécialisée dans le droit de la famille, avec un focus particulier sur les divorces à l’amiable et par consentement mutuel. Son approche bienveillante et son dévouement envers ses clients lui permettent d’accompagner efficacement les couples souhaitant divorcer en toute sérénité, en privilégiant toujours des solutions apaisées et respectueuses pour toutes les parties.

Parcours

Maître Valérie Cama, Avocate
Maître Valérie Cama
Divorce à l'amiable à Avignon : Tout savoir sur le consentement mutuel

Sommaire : Définition / Avantages / Procédure / Cas particulier / Tarif

Qu'est-ce qu'un divorce par consentement mutuel ?

Le divorce à l’amiable, ou divorce par consentement mutuel, est une procédure simplifiée qui permet aux couples de divorcer sans passer devant le juge sous certaines conditions.

Les conditions à respecter sont qu’ils soient d’accord sur tous les aspects de leur séparation : 

  • garde des enfants : où vivront les enfants, les modalités de résidence alternée si applicable, etc.
  • pension alimentaire : le montant versé par l’un des parents à l’autre pour subvenir aux besoins des enfants.
  • partage des biens : la répartition du patrimoine du couple (maison, comptes bancaires, etc.).
  • prestation compensatoire : une somme d’argent versée par un époux à l’autre pour compenser une différence de niveau de vie après le divorce.


Ensuite accompagnés chacun de leur avocat², les époux rédigent une convention de divorce qui définit les modalités de leur séparation.

Quels sont les avantages ?

  • Rapidité
  • Coût réduit
  • Préservation des relations
  • Possibilité de définir soi-même les modalités de la séparation
  1. La prise de décision commune: Les deux époux s’accordent sur le principe de la séparation et sur leur volonté de divorcer à l’amiable.
  2. Le choix des avocats: Chaque époux choisit un avocat pour le représenter¹. 
  3. La négociation de la convention de divorce: Les avocats des deux parties négocient les termes de la séparation. 
  4. La rédaction de la convention: Une fois les accords trouvés, les avocats rédigent la convention de divorce.
  5. La signature de la convention: Les deux époux signent la convention en présence de leurs avocats.
  6. Le dépôt de la convention: La convention peut être déposée chez un notaire ou, dans certains cas, présentée au juge aux affaires familiales.² 

¹ La présence d’un avocat pour chaque conjoint est obligatoire depuis 2017. 

² Le passage devant le juge est obligatoire dès lors si un de vos enfants mineurs souhaite être entendu ou si l’un des deux époux est placé sous un régime de majeurs protégés : tutelle, curatelle, sauvegarde de justice judiciaire ou médicale.

Les étapes d’une procédure de divorce à l’amiable

Comme évoqué ci-dessus, il existe deux procédure possibles.

  1. L’acte d’avocat : la convention de divorce par acte d’avocat
  2. Le dépôt d’une requêtes auprès des juges des affaires familiales 
Procedure divorce par acte d'avocat

L’acte d’avocat

Etape n°1 : Rédaction de la convention de divorce avec vos avocats distinct

Lors de cette consultation, les avocats rédigent la convention de divorce en concertation avec les époux. Cette convention aura pour but de fixer les conditions du divorce.

Les conditions concernent : 

  • Les modalités de garde des enfants 
  • l’autorité parentale, 
  • le montant de la pension alimentaire,
  • le montant de la prestation compensatoire,
  • la répartition des biens immobiliers.


Conseil de maître valérie cama : 
Plus vous aurez fixer en amont en accord avec votre mari les répartitions, plus vous gagnez du temps et plus le coût du divorce sera réduit. Il arrive encore trop souvent lors de ce rendez-vous que les répartitions ne soient pas exactes des deux côtés.

Bon à savoir : 

  1. Vous pouvez modifier cette convention autant de fois que vous le souhaitez, afin d’arriver à un accord final qui vous convient.
Liste des documents à fournir

Pour rédiger cette convention l’avocat aura besoin que vous lui fournisser une liste de copie des documents suivants : 

  1. Acte de naissance de chaque membre de la famille
  2. Acte de mariage
  3. Carte d’identité recto/verso ou passeport des deux époux
  4. Carte vitale des deux époux
  5. Livret de famille
  6. Acte de propriété des biens immobiliers
  7. Deux dernier avis d’imposition 
  8. 3 Derniers bulletin de salaire des époux 
  9. Justificatif de domicile : quittance de loyer ou facture de gaz/elec/téléphone datant de moins de 3 mois


Une fois que les époux ont accepté cette convention, ils ont 15 jours de réflexion avant la signature. 

Cette signature devra se faire au sein du bureau de l’un des deux avocats, avec la présence obligatoire des deux conjoints. 

Bon à savoir : 

Si cette convention est signée avant les 15 jours de réflexion, elle devient automatiquement nulle. Une convention devra donc être refaite. 

Ces jours de réflexion sont compter de la date de réception du courrier RAR de la convention au domicile des époux, afin de s’assurer qu’aucun élément n’a été oublié dans la convention et que leurs intérêts, et ceux de leurs enfants ont bien été respectés.

Une fois cette condition signée, elle est envoyée sous un délai de 7 jours ( à compter de la date de signature) chez un notaire. Celui-ci l’enregistre et adresse aux avocats une attestation d’enregistrement .

Une fois le divorce prononcé, vous êtes dans l’obligation de mettre à jour votre état civil. 

En effet, pour que votre divorce soit reconnu par tous, y compris les administrations, banques, employeurs, etc., il est indispensable de faire apposer la mention du divorce sur vos actes de naissance et de mariage.

  • Acte de naissance: auprès de la mairie de votre lieu de naissance.
  • Acte de mariage: auprès de la mairie où le mariage a été célébré.

 

Comment faire ? 

Les démarches sont effectuées en mairie, par les avocats rédacteurs de l’acte dès réception de l’attestation de dépôt de la convention de divorce.

Cette démarche rend votre divorce opposable aux tiers. Cela signifie que votre nouvelle situation juridique est désormais effective et que tous doivent en tenir compte.


Exemple de cas :


Crédit immobilier : Vous souhaitez souscrire un crédit immobilier avec votre nouveau conjoint. La banque vérifiera votre situation matrimoniale et, grâce à la mention du divorce, elle saura que vous êtes divorcé(e) et apte à contracter un nouveau mariage.

 

Conseil de maître Valérie Cama : 

Pensez à demander plusieurs copies de vos actes d’état civil avec la mention du divorce, car elles vous seront souvent demandées pour vos démarches administratives.

 

En cas d’un dépôt d’une requête auprès des juges des affaires familiales

En effet, la procédure de divorce par consentement mutuel a été simplifiée et peut désormais se faire directement chez un notaire.

Cependant comme vu précédemment cela reste possible dans le cas où l’un des enfants du couple ou d’un des époux souhaite se faire entendre.  

Procédure

En cas de dépôt d’une requête auprès du JAF, la procédure est très ressemblante  à celle de l’acte d’avocat ci-dessus explicitée, la différence est que la convention est déposée auprès du JAF qui ensuite convoque les époux à une audience pour homologuer la convention de divorce. 

Le JAF s’entretient avec chaque époux séparément et s’assure qu’ils consentent librement et éclairés au divorce. Le JAF vérifie également que la convention de divorce protège les intérêts des époux et de leurs enfants. 

Si le JAF est satisfait, il homologue la convention de divorce par une ordonnance. Le divorce est alors prononcé.

Bon à savoir : 

Conformément à l’article 250-2 du Code civil, le Juge a le pouvoir de refuser l’homologation de la convention de divorce si, après examen approfondi, il estime que les droits ou les intérêts d’un des époux ou des enfants ne sont pas suffisamment protégés.

Dans ce cas, une nouvelle convention de divorce peut être proposée dans un délai de 6 mois, à compter de la date de refus de la précédente convention (en tenant compte des observations et des remarques formulées par le Juge lors du refus d’homologation.)

Différence entre un divorce passant par le JAF et un divorce par acte d’avocat

Critère

Procédure par Acte d’avocat

Procédure par juge

Rapidité

Généralement plus rapide

Peut être plus longue, surtout en cas de désaccord

Coût

Frais d’avocat de chaque partie ( a voir avec l’avocat) et frais d’enregistrement d’un montant de 49.44 € (frais fixe par convention)

Frais d’avocat, et frais de justice

   

Flexibilité

Moins de formalisme, plus de possibilités de personnalisation

Plus de formalisme, moins de possibilités de personnalisation

Intervention du juge

Pas d’intervention sauf si un enfant souhaite être entendu

Intervention obligatoire pour homologuer la convention

Complexité des dossiers

Plus adaptée aux dossiers simples

Peut convenir à des dossiers plus complexes ou contentieux


Résumé 
Le divorce par acte d’avocat se distingue par l’absence de comparution au Tribunal, rendant la procédure plus simple et plus rapide. Ce qui implique un gain de temps et d’argent. 

Comptez environ 2 mois pour un divorce par acte d’avocat contre 4 à 12 mois pour un divorce devant le Tribunal. 

Cas particulier

Divorce à l'amiable avec un bien immobilier

Le divorce à l’amiable par acte d’avocat avec un bien immobilier peut s’avérer plus complexe que le divorce sans biens immobiliers, car il implique que le sort du patrimoine des époux soit réglé avant le prononcé du divorce..

Cette complexité supplémentaire découle des différentes options possibles pour la gestion du bien immobilier, qui peuvent avoir des implications financières et patrimoniales importantes pour les conjoints.

Les options possibles :  

  1. Vente à un tiers 
  2. Conservation du bien par les deux époux après le divorce (indivision)
  3. Attribution du bien à l’un des époux 
Divorce amiable bien immobilier

Avantages et inconvénients

Option

Avantage

Inconvénients

Quand choisir ?

Vente du bien

Liquidité immédiate, partage équitable des fonds

Perte potentielle du logement familial, nécessité de trouver un acquéreur

Lorsque les deux époux souhaitent se séparer de leur bien immobilier et en partager équitablement la valeur.

Conservation du bien par un seul époux

Maintien du logement familial, possibilité de conserver un patrimoine immobilier

Nécessité de verser une soulte à l’autre époux,souvent Cela s’accompagne de la nécessité de rachat de prêt …par un seul des époux

Lorsque l’un des époux souhaite conserver le logement familial et qu’il a les moyens de verser une soulte à l’autre, soit par des fonds directement disponibles soit par l’octroi d’un nouveau prêt.

Indivision

Maintien du bien en commun, possibilité de le revendre plus tard

La convention d’indivision est conclue pour 5 années, renouvelable. Le caractère irrévocable n’existe que pendant les 5 premières années. Après chacun des époux peut y mettre un terme à l’issue du premier délai de 5 ans

Lorsque les époux souhaitent conserver le bien en commun pour le moment, mais envisagent de le vendre plus tard.

 

Vous n’avez pas d’idée ? Pas de panique !
Faîtes vous conseillez par Maître Valérie Cama

Il est important de se faire conseiller par un avocat pour choisir la procédure de divorce la plus adaptée à sa situation et pour défendre ses intérêts. Alors n’hésitez plus.

Divorce à l'amiable avec une grande différence de revenus entre les époux

Lorsqu’il existe une importante disparité de revenus entre les époux, le divorce à l’amiable doit prendre en compte la question de la prestation compensatoire.

 La prestation vise à compenser la disparité que peut provoquer le divorce.

Comment est définit la prestation compensatoire ?

C’est aux époux de se mettre d’accord sur le montant de cette prestation lors d’un consentement mutuel. 

Vous devez prendre en compte plusieurs critères :

  • La durée du mariage
  • La disparité de revenus entre les époux que provoque le divorce
  • L’âge et l’état de santé de chaque époux
  • Les droits prévisibles à la retraite de chacun des époux
  • La situation professionnelle de chaque époux
  • Le patrimoine de chaque époux
  • Les charges de famille de chaque époux

Prenons l’exemple de Léa et David, mariés depuis 20 ans. Léa, cadre supérieur, perçoit un salaire net mensuel de 4000 euros, tandis que David, artisan, gagne 1500 euros net par mois. Suite à leur divorce, ils conviennent qu’en l’état de la disparité des ressources une prestation compensatoire sera versée par Léa..

 

En considérant la durée de leur mariage, leurs revenus respectifs et leur niveau de vie pendant l’union, leurs droits prévisibles à la retraite, il est probable que Léa ait un niveau de vie plus élevé que David après le divorce. Pour compenser cette différence, Léa pourrait verser à David une prestation compensatoire soit sous forme de capital soit sous forme de rente. Le montant exact de cette prestation sera déterminé en fonction des nombreux critères cités ci dessus, et devra faire l’objet d’une négociation entre les deux époux .

 

Si les époux ne parviennent pas à se mettre d’accord, il conviendra de mettre un terme à la procédure de divorce par acte d’avocat, et de demander judiciairement juge de déterminer le montant de cette prestation.

 

Attention →

Chaque situation est unique, ne pas prendre ce cas comme référence.

Divorce à l’amiable avec des enfants

La présence d’enfants implique des considérations supplémentaires lors d’un divorce à l’amiable, notamment :

  • Détermination du mode de droit de visite et d’hébergement de chacun des parents( Résidence des enfants au domicile de l’un des parents, garde alternée, aménagement du droit de résidence et d’hébergement …
  • Pension alimentaire 


Plusieurs cas sont possible : 

  1. Résidence principale chez un parent et droit de visite et d’hébergement classique,ou élargi pour l’autre parent : week-ends, vacances scolaires, et une présence significative pendant les mercredis et jours fériés, ou autres modalités en accord avec les parents dans l’intérêt des enfants
  2. Garde alternée : L’enfant partage son temps de manière égale ou quasi-égale entre les deux domiciles des parents. 
  3. Résidence chez un parent avec des droits de visite et d’hébergement spécifiques : Cette option peut être adaptée à des situations particulières, comme un grand écart géographique entre les domiciles des parents ou des besoins spécifiques de l’enfant. 

Les droit des enfants lors d’un divorce à l’amiable par acte d’avocat

Vos enfants ont le droit d’être informés de votre décision de divorcer et de donner leur avis, dans la mesure de leur âge et de leur maturité le permettent. Si votre enfant est assez grand pour comprendre ce qui se passe et exprimer ses souhaits de manière claire, il pourra être entendu par le juge. C’est ce qu’on appelle le droit d’être entendu.

Comment se déroule l'audition de l'enfant ?

Si votre enfant souhaite être entendu, il remplira un document simple expliquant qu’il souhaite être entendu. Le juge tiendra compte de l’avis de votre enfant, mais la décision finale reviendra aux parents et au juge, qui veillera toujours à ce que l’intérêt supérieur de l’enfant soit respecté.

Pour qu’un enfant puisse être entendu par le juge, il doit faire preuve de “discernement”. Cela signifie qu’il doit être capable de comprendre les enjeux du divorce et d’exprimer ses souhaits de manière réfléchie. Il est important que l’enfant soit suffisamment mature pour participer à cette démarche.

Si votre enfant ne souhaite pas exprimer ses souhaits, ou s’il n’est pas considéré comme suffisamment mature, il n’est pas obligé de participer à la procédure.

FAQ

Les réponses à vos questions.

Quel est le tarif d’un divorce par consentement mutuel ?

En moyenne, pour un divorce à l’amiable par acte d’avocat, les honoraires d’avocats se situent entre 1 800 et 4000 euros par époux.

Mais sachez que le coût d’un divorce peut varier considérablement en fonction de plusieurs facteurs, dont :

  • La complexité de la procédure : un divorce par consentement mutuel amiable sera généralement moins coûteux qu’un divorce contentieux avec de nombreuses contestations.
  • La présence d’enfants : la prise en compte de la garde, des pensions alimentaires et des droits de visite et d’hébergement complexifie la procédure et augmente les frais.
  • La valeur du patrimoine à partager : plus la valeur des biens est élevée, plus les frais de la rédaction d’un acte liquidatif par le notaire seront importants
  • Le mode de règlement du divorce : un divorce par acte d’avocat est généralement moins onéreux qu’un divorce devant le Tribunal;

Afin de vous donner une idée plus précise des coûts engendrés par un divorce à l’amiable par acte d’avocat, prenons l’exemple d’un couple fictif imaginé par maître Valérie Cama avec son expérience :

Marie et Paul se marient en 2010 et acquièrent un bien immobilier d’une valeur de 250 000 €. Ils n’ont pas d’enfants et décident de divorcer à l’amiable en 2024.

Honoraires d’avocats:

  • Estimation moyenne : Entre 1 500 € et 2 500 € par avocat (soit entre 3 000 € et 5 000 € pour le couple)
  • Facteurs influençant les honoraires : Complexité du dossier, expérience de l’avocat, localisation géographique


Frais de notaire:

  • Dépôt de la convention de divorce : 41,20 € HT (49,44 € TTC)
  • État liquidatif de biens immobiliers par notaire: frais a déterminer par le notaire  (8 à 10% de la valeur du bien immobilier)


Droit de partage :

  • Calcul : 1,10 % de la valeur nette des biens partagés (hors dettes)
  • Exemple : Si le couple vend le bien immobilier pour 250 000 € et rembourse 50 000 € de dettes, la valeur nette partagée est de 200 000 €. Le droit de partage s’élèverait donc à 2 200 €.


Impôt sur la plus-value immobilière (PV-IMMOBILIER) :

  • Appliqué si vente d’un bien immobilier
  • Calcul : Différence entre prix de vente et prix d’acquisition (abattements possibles)
  • Taux : 19,2 % (taux réduit possible pour résidence principale)


Droits de mutation :

  • Appliqués en cas de transfert de propriété d’un bien immobilier
  • Calcul : Variables selon la valeur du bien et la localisation (environ 7,80 %)


Total des frais à envisager

  • Honoraires d’avocats 
  • Frais de notaire si acte liquidatif ou simple enregistrement
  • Frais de procédure 
  • Droit de partage  
  • PV-IMMOBILIER  
  • Droits de mutation
Cabinet d'avocat maître valérie cama

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